Bartabas, Roman de Jérôme Garcin Portrait d'un artiste universel qui a réinventé le spectacle et roman d'un homme qui a construit,sous une identité fictive, un monde imaginaire, Bartabas, roman est aussi le récit d'une amitié fraternelle, botte à botte sur les chemins de traverse. 7,10€ Ajouter au panier
Un geste vers le bas, dédicacé par Bartabas "Tels deux taiseux qui se découvrent, nous avons partagé un flot de paroles inutiles ; nos voyages, nos rencontres, nos aventures et le fardeau de nos compagnies. De cigarette en cigarette et de verre de vin en cigarette, nous avons échangé sur nos doutes et les affres de la création. J’ai beaucoup parlé de mes chevaux, elle, très peu de ses danseurs. Enfin le silence s’est imposé. L’envie de parler a fait place à l’envie de faire. - J’aimerais vous présenter un cheval… il se nomme Micha Figa." En 1990, Bartabas rencontre la chorégraphe et danseuse allemande Pina Bausch. Une amitié entre eux se noue, et il décide de lui présenter le cheval Micha Figa – le partenaire idéal, selon lui, pour révéler la personnalité profonde de la danseuse. C’est le début d’une aventure artistique et initiatique sans pareille, qui durera plus de dix ans. Lors de ces nuits volées au gré de leurs rencontres, Pina Bausch et Micha Figa tissent un lien qui aurait dû déboucher sur un spectacle attendu. La vie en a voulu autrement. Restent les moments de grâce qui ont échappé aux projecteurs, et dont Bartabas, qui en fut l'unique témoin, nous livre ici le récit halluciné. Un geste vers le bas, hommage d'un artiste à un autre, nous entraîne dans les coulisses de la création, et raconte ce qui peut se jouer d’irrationnel et de sublime entre l'homme et l'animal. Après D'un cheval l'autre (2020) et Les cantiques du corbeau (2022), Bartabas, fondateur du Théâtre équestre Zingaro, signe ici son troisième livre. Editions Gallimard Collection Blanche 112 pages 17,00€ Ajouter au panier
Brochure Entretiens Silencieux Brochure du spectacle "Entretiens Silencieux" de Bartabas et son cheval Tsar, joué du 14 au 28 juillet 2021 dans le cadre du Festival Paris l'été et du Festival d'Automne. Croquis de Jean-Louis Sauvat. 10,00€ Ajouter au panier
Cabaret de l’exil, Bartabas, Alfons Alt CABARET DE L'EXIL Dépeint par Alfons Alt Aventure totale au cœur d’une histoire sans âge ; depuis presque quarante ans, Zingaro poursuit son itinérance théâtrale. S’offrir à cheval au public, c’est faire du verbe avec lui ; inventer un langage immémorial… Un échange au-delà des mots, quand la langue des hommes, elle, est amenée à disparaître et à renaître au gré des vents de l’histoire. L’exil entraîne presque toujours l’enrichissement de ses propres racines, il impose une renaissance, un détachement de ses liens ancestraux. Recevoir cette sève nouvelle exige courage et ouverture d’esprit. Ce premier «Cabaret de l’Exil» célèbre la culture yiddish et sa musique klezmer ; un monde nomade en référence au déracinement perpétuel du peuple juif. Le yiddish, langue de l’exil par excellence, est aujourd’hui une langue mourante qui renaîtra peut-être un jour. Comme l’a dit Bashevis Singer avec son humour dévastateur et diabolique, lors de la remise de son prix Nobel de littérature : « On me demande souvent pourquoi j’écris dans une langue aussi morte. Pourquoi ? Parce que je crois à la résurrection. Pas seulement à la résurrection des langues, mais à la résurrection des hommes. Une langue mourante... parfait pour ceux qui sont ni vivants ni morts : les fantômes ! Rien ne convient mieux à une histoire de fantômes qu’une langue mourante. Plus la langue est morte, plus les fantômes sont vivants.» En s’inspirant du bestiaire de ce «Cabaret de l’Exil», Alfons Alt révèle au-delà de la nostalgie, qui traverse le temps pour imprimer nos âmes, une véritable résurrection. BARTABAS 20,00€ Ajouter au panier